
Theo Gay Paquets de mecs – Bulges
Dans cette partie du blog je parle de tout et de rien, de la vie en général, de mes états d’âmes, de mes coups de coeurs.
PARIS, 9 déc 2009 (AFP) « Petite tarlouze », « On n’est pas pédés, la preuve on t’encule », les propos et les banderoles homophobes fleurissent dans les stades. Pour la première fois, un documentaire de Canal+ aborde sans tabou la question de l’homosexualité dans le sport.
Il n’y a pas moins d’homosexuels dans ce domaine qu’ailleurs. Simplement, très peu d’athlètes révèlent leur orientation sexuelle. Y-a-t-il donc un problème entre le sport et les homos ? C’est à cette question que tente de répondre le documentaire, écrit et réalisé par Michel Royer, coproduit par Capa, à partir d’interviews, de reportages et d’images d’archives.
Michel Royer explique avoir essuyé beaucoup de refus. « Certains acceptaient de parler de leur homosexualité au téléphone, mais pas en public. Le triathlète Carl Blasco, la footballeuse Marinette Pichon parlent pour la première fois », confie-t-il à l’AFP.
D’autres sportifs de haut niveau témoignent. Comme le plongeur australien Matthew Mitcham, qui a été le premier champion olympique ouvertement homo en 2008, ou le footballeur Olivier Rouyer qui a fait son coming out à 53 ans. Pourquoi si tard ? « J’ai envie de dire tout simplement parce que la société n’est pas prête à ça », concède ce dernier, reconnaissant avoir eu peur d’être traité de « sale pédé ».
Un sociologue a interrogé une douzaine de sportifs de premier rang sous réserve de ne pas révéler leurs noms. Leur réponse a été unanime: « Il n’est pas question de révéler notre homosexualité, ça nous mettrait en danger dans le milieu sportif ».
Le premier risque pour un athlète qui ne cache pas son homosexualité est d’être mis à l’index de l’équipe. Car le sport véhicule toutes sortes de clichés sur la virilité et de préjugés souvent ressentis douloureusement par les athlètes. Tant et si bien que beaucoup affichent une hétérosexualité, parfois imposée par leurs sponsors. Pour le triathlète Carl Blasco, en parler fut toutefois « une grande libération ».
« Le racisme et l’homophobie, je ne vois pas la différence », assure le champion du monde 1998 de football Lilian Thuram…
«Sports et homosexualités: c’est quoi le problème?», qui sera diffusé le 4 janvier sur Canal+, lève le voile sur ce sujet tabou, notamment à travers les témoignages de sportifs ouvertement gays, et d’autres qui veulent rester anonymes.
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Tom Freeman et Katherine Doyle, tous deux fonctionnaires et âgés de 25 ans, ont été refoulés par le service de l’état civil d’Islington (au nord de Londres) qui leur a indiqué que la législation en vigueur depuis 2005 stipulait que le partenariat civil était réservé aux couples homosexuels. Totalement injuste comme décision, alors qu’à l’inverse les homos y ont droit « par dépit ».
Les deux jeunes gens, qui se sont dit « tristes et déçus » par la décision de refus, sont prêts à porter l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme, et sont soutenus par Peter Tatchell, bien connu jusqu’à présent pour son activisme pour le droit des gays. « Même si j’ai passé une grande partie de ma vie à combattre l’homophobie, je suis tout autant opposé à la discrimination hétérophobe. J’applaudis Katherine et Tom et soutiens leur candidature pour l’égalité des hétérosexuels », déclare Tatchell. |
En ce dimanche pluvieux, que faire.. des bisoux sous la couette !? Mais oui, pour qui peut, c’est formidable !!
J’ai rencontré un pti gars il y a dix jours. Pas mon genre au départ, il m’a séduit par un carrisme que je ne soupçonnais pas. Il travaille au ministère de l’industrie, 31 ans, et je vous avouerai que de le voir en costard m’a fait chavirer. Calins sous la couette depuis une semaine, mon rythme de mise à jour en a pris un coup. Rien que pour vous, plein de tendresse à partager !